Confirmation d'absence de tumeur au pancréas

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kasper

Bonjour,

Je résume mon cas assez atypique d'après mon gastro-entérologue (j'ai 42 ans). Entre septembre et décembre, j'ai perdu environ 5 à 6 kg (poids qui s'est à peu près stabilisé depuis à +/- 1 kg, j'ai même repris 1,5 kg pendant mes vacances la semaine dernière...), avec un état anxieux, une dette de sommeil "énorme" (mes enfants nous réveillent plusieurs fois par nuit depuis environ deux ans), des douleurs faibles à modérées intermittentes côté gauche du ventre (parfois au centre ou à droite), et des douleurs de même intensité et intermittentes vers le milieu du dos, mal localisées (parfois sur les vertèbres, parfois sur les muscles alentours et qui varient selon les mouvements ou la position...).

Mon généraliste m'a fait faire une échographie en décembre, pancréas bien visualisé et rien à signaler, et une prise de sang quasi complète qui ne révèle pas plus d'anomalies (les dosages spécifiques au pancréas n'ont en revanche pas été faits). Elle m'a toutefois adressé à un gastro-entérologue par sûreté. Celui-ci m'a confirmé que vu les résultats de la prise de sang et de l'échographie, il était peu probable que les symptômes ressentis aient un lien avec le pancréas. En revanche, comme j'avais des remontées acides, il en a profité pour me faire une gastroscopie qui a révélé une hernie hiatale et une œsophagite (traitée maintenant depuis une quinzaine de jours).

Toutefois, j'ai toujours ces douleurs intermittentes à gauche (leur intensité n'a pas changé, si ce n'est quelques rares pics un peu plus importants (mais est-ce que je les avais déjà avant sans m'en soucier ??), parfois c'est au centre, parfois à droite, parfois aucune douleur...). En revanche, les douleurs dorsales semblent s'installer de façon plus continues, et toujours un peu vers le milieu du dos, et toujours variables en intensité selon ma position ou mes activités (ça ne me réveille pas la nuit, sauf parfois au "petit matin", je sens mon dos qui me tiraille). Pour ces douleurs dorsales, j'arrive à les pointer du doigt et à accentuer la douleur si j'appuie dessus, vertèbre ou muscle, parfois elles montent jusque derrière l'omoplate, parfois elles descendent jusqu'aux lombaires (n'étant pas médecin, je ne sais pas si ces douleurs mal localisées et le fait de pouvoir accentuer la douleur en appuyant dessus ou en inspirant très fort ou la diminuer en changeant de position, en m'étirant ou en m'allongeant peut avoir un rapport avec le pancréas). Il n'y a que la douleur centrale au niveau du dos (un peu plus sur la droite de la colonne) qui semble être toujours là, à peu près vers la vertèbre située au niveau du bas de l'omoplate ou un peu en dessous.

Après en avoir reparlé avec mon gastro-entérologue, celui-ci ne met toujours pas le pancréas en cause, il m'a dit "il est peu probable que quelque chose qui donne ces symptômes, même légers, soit passé inaperçu à l'échographie (il m'a parlé de diagnostique indirect je crois), et de plus, même si le dos vous tiraille plus qu'avant, cela fait maintenant environ trois mois, et si c'était grave, vous auriez des symptômes bien plus douloureux aujourd'hui (je précise que n'ai jamais pris d'anti-douleurs pour soulager tous ces symptômes qui restent supportables). En plus, à 42 ans, c'est une maladie qui reste assez exceptionnelle, même si ce n'est pas impossible. Cela paraît plutôt lié à un problème mécanique ou inflammatoire du dos, sans doute lié à votre manque de sommeil et votre anxiété, mais pour vous rassurer, je vous prescris un scanner de l'abdomen. Et si les gênes au ventre ne passent pas, on se reverra pour faire une coloscopie".

Je lui ai demandé s'il n'était pas plutôt possible d'avoir une IRM à la place car si c'est juste pour me rassurer, je n'ai pas forcément envie de me prendre plusieurs années de rayons (j'ai déjà eu deux scanners dans ma vie il y a plusieurs années, dont un au niveau de l'abdomen qui ne servait à rien et que je n'aurais pas dû avoir à l'époque d'après mon médecin...). Mais il m'a répondu que le scanner était plus précis et que l'IRM servait à autre chose. Je précise que j'ai toute confiance dans mon gastro-entérologue que je trouve très professionnel. En revanche, il n'est pas radiologue et j'ai lu sur ce forum et d'autres que des IRM étaient prescrites comme premier diagnostique, et surtout sur la documentation officielle du site SNFGE (https://www.snfge.org/content/9-cancer-du-pancreas paragraphe 9.2.3.2.) : "L’imagerie par résonance magnétique (IRM) avec séquences de cholangio-pancréatographie est une alternative aussi sensible et spécifique que la TDM pour le bilan diagnostique et d’extension de l’AP à l’étage abdominal, mais est moins utilisée en raison de son coût et de sa disponibilité plus limitée (Bipat et al., 2005)."

Question 1 : est-ce que je peux demander à mon médecin une IRM (soit du pancréas uniquement, soit de l'abdomen) plutôt qu'un scanner, étant donné qu'il n'y a à priori pas urgence (de plus, on arrive de toute façon maintenant à avoir des rendez-vous assez rapides sur Paris) pour confirmer que mon pancréas est sain ou me conseillez-vous de réaliser ce scanner abdominal, bien qu'il y ait une dose de rayons non négligeable à prendre en compte ? (et en plus je suis allergique à l'iode injectable)

Question 2 : je ne vous demande bien entendu aucun diagnostique par forum, mais que pensez-vous de mes symptômes ?

Merci d'avance pour votre attention.

Cordialement.

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Dr A.Marceau

Bonjour,
Je suis bien embarrassé par votre 2e question car vos symptômes ne me semblent pas correspondre à une origine pancréatique. Ni votre âge ni la durée des symptômes (6 mois environ) ne plaident pour une pathologie pancréatique. Le fait que vous ayez des douleurs reproduites par la pression orientent davantage, me semble-t-il, vers une pathologie de l'appareil locomoteur, donc rhumatismale. Avez-vous consulté un rhumatologue ?
Quant au choix entre scanner et IRM, c'est un choix à discuter entre vous et le gastroentérologue prescripteur, ce sont deux examens qui se complètent l'un l'autre dans l'exploration morphologique du pancréas et il n'y a pas d'argument objectif pour privilégier l'un plutôt que l'autre.
Bien cordialement
Dr A.Marceau

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kasper

Bonjour, et merci pour votre réponse rapide.

En fait, non, je n'ai pas encore consulté de rhumatologue, je voulais déjà écarter tous problèmes digestifs. Mais effectivement, c'est ma prochaine étape après exploration de l'abdomen. Comme je le disais plus haut, mon gastro-entérologue m'a tenu sensiblement le même discours, et comme moi, il préfère d'abord vérifier que tout va bien, ce que je ne lui reproche absolument pas !! (il m'a dit qu'assez souvent il se passe l'inverse, on essaie de soigner le dos alors que c'est un des organes digestif, les poumons, le cœur, etc. qui peut être la cause).

En revanche, je n'avais pas parlé avec lui que je pouvais accentuer la douleur en appuyant dessus ou qu'elle avait plutôt tendance à se calmer au repos (ou à l'exercice, par exemple, tout à l'heure, je suis allé faire mon jogging et la douleur m'a très peu gêné, voire presque pas, j'avais d'ailleurs plus une "barre" dans le ventre, mais je pense que ça vient de la reprise après les vacances et, il faut l'avouer quand même, un peu de "malbouffe" associée...). Par contre, là, assis devant mon écran à écrire, ça recommence à me tirailler...

Concernant le scanner ou l'IRM, c'est justement parce que l'origine pancréatique semble non correspondre que je me demandais s'il n'était pas préférable d'effectuer une IRM (à cause des doses de rayons, ce qui ne veut pas dire que cet appareil ne devrait pas exister !! Je ne suis absolument pas contre quand c'est nécessaire !!). Je vais donc revoir avec lui s'il est possible d'effectuer cet IRM.

Merci à nouveau pour votre réponse !

Cordialement.

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kasper

Bonjour,

IRM passé, aucun problème du côté du pancréas, même si depuis le temps, je m'en doutais un peu, ça fait toujours du bien de le savoir "officiellement" ! Mais en revanche "un foie modérément dysmorphique et stéatosique sans lésion focale suspecte décelée -> bilan stéatose hépatique". Pour le reste, tout va bien.

Comme je n'ai pas le profil traditionnel pour ce genre de pathologie (pas obèse, pas alcoolique, pas diabétique, etc.), mon médecin m'a "prescrit" plus de sport et une meilleure alimentation, notamment en limitant les sucres "simples", étant donné qu'il n'y a pas de lésion et un contrôle dans 6 à 12 mois. Il faut dire que depuis que je suis papa, il y a presque 4 ans, ma qualité d'alimentation a diminué et mon niveau de stress à largement augmenté, il faut donc déjà corriger ça...

Encore merci à vous pour avoir pris le temps de me lire et de me répondre.

Bonne continuation à vous.

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Mat94

Salut Kasper, j'ai depuis quelques mois des symptômes similaires aux tiens (ça fait des mois que j'ai l'impression d'être un cas rare). Si tu es encore connecté à ce site j'aimerais que tu me dises si cela va mieux depuis ton dernier message et le fait d'avoir fait du sport par exemple...
Pour info, dans les symptômes similaires : hernie hiatale, fois un peu gras, douleurs légères au dos ou dans la cage thoracique. J'ai également des coups de fatigue de temps en temps. Bref cela m'intéresse de pouvoir échanger avec toi !
A bientôt j'espère !

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Oce125

J’ai également ces symptômes pouvez vous me dire ce qu’il en est pour vous aujourd’hui

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Jessie Matters

Je m'appelle Pat, 30 ans et ma femme, Marie et moi étions mariés depuis un peu plus de 10 ans, s'étant rencontrés, tombés amoureux et mariés tôt, diraient certains prématurément, alors que nous étudiions encore à l'université. Maintenant âgée de 29 ans, elle était toujours en forme exceptionnelle, presque aussi fine et attirante que lorsque je l'avais rencontrée pour la première fois, pas maigre mais pas grosse; une taille 10 avec buste 34C. Elle a de longs cheveux bruns soyeux qui sont descendus juste au-delà de ses épaules https://free1080pporn.com . Cependant, autant que j'avais toujours voulu et essayé de l'amener à s'habiller et à se comporter de manière plus sexy, elle semblait toujours préférer s'habiller de manière un peu conservatrice, un peu trop conservatrice à mon goût. Elle n'a jamais osé se passer d'un soutien-gorge et opterait toujours pour un style bikini confortable mais joli, plutôt que des culottes ou des tongs sexy. Même si nous partions en vacances en Espagne, elle opterait pour un maillot de bain ou un bikini sensé et ne pourrait jamais être cajolée à devenir seins nus, alors que la plupart des femmes autour de nous sur la plage dénudaient leurs seins pour que tout le monde puisse en profiter.

Bien que notre vie sexuelle ait été assez active à 20 ans, au cours des dernières années, elle avait diminué et était devenue beaucoup moins fréquente et plus prévisible. J'avais parfois essayé d'animer notre vie sexuelle et d'essayer de la tenter de devenir plus aventureuse, mais au fond, elle ferait de son mieux pour éviter tout ce qui n'est pas une simple baise une ou deux fois par mois à condition que je reconnaisse le bon moment, généralement quelques jours avant ses règles. Ne me demandez pas pourquoi, mais la pénurie de tout ce qui ressemble à une vie sexuelle décente m'avait appris à observer et à prêter attention aux nuances et aux petites indications que le sexe pourrait être disponible pour moi si je jouais bien mes cartes. Les efforts pour la réveiller à d'autres moments étaient généralement rejetés, avec l'une de ses excuses habituelles. Le sexe quand cela se produisait était principalement dans une position missionnaire passive. Même une pipe était quelque chose pour laquelle elle se sentait extrêmement mal à l'aise et donc je ne l'ai jamais pressée pour cela et l'anal était totalement hors de question. Dans mes divers efforts pour raviver notre vie amoureuse, j'avais même essayé de l'intéresser à partager des vidéos porno pour animer un peu la relation, mais son intérêt ou sa volonté de les regarder a été soit accueilli avec dédain, soit de courte durée. . Il y avait une vidéo, cependant, où l'histoire qui se déroulait était celle d'une femme qui a fini par avoir une brève rencontre avec un inconnu. Je me souviens de cela parce que cela m'est venu à l'esprit à ce moment-là, car elle était beaucoup plus humide que d'habitude. Bien que ne mentionnant pas directement à quel point cela l'avait excitée, j'ai essayé de repousser les limites dans les rares occasions où nous avions des relations sexuelles et de poursuivre l'idée qu'elle aurait des relations sexuelles impliquant un autre homme, mais cela a été rapidement rejeté comme de la «pure fiction» et rien de tout cela. ne serait jamais considéré dans la vraie vie.

Elle avait toujours eu le sommeil assez léger et se réveillait parfois pendant la nuit, mais plus récemment elle avait même commencé à prendre un somnifère après avoir consulté le médecin pour ses problèmes de sommeil. Personnellement, je n'étais jamais sûr que c'était juste pour aider ses excuses ou si elle avait vraiment un problème, mais ils semblaient certainement l'assommer et une fois endormie, rien ne la réveillerait vraiment. Je dois avouer qu'une fois que je pourrais être sûr qu'elle dormait, j'utiliserais ce temps pour me masturber et soulager la tension refoulée, choisissant principalement de fantasmer sur l'espionnage avec un autre homme alors qu'il la séduisait.

En repensant à mes années à l'université, à l'époque où j'ai commencé à sortir avec Marie, j'avais partagé un appartement avec un gars du nom de Paul. J'étudiais l'informatique et Paul avait poursuivi un diplôme conjoint en psychologie et biochimie, ce qui, à ce moment-là, je trouvais assez étrange. Or, Paul était un homme formidable, un doux ours d'homme; authentique, extrêmement intelligent, avec un grand sens de l'humour. Nous sommes rapidement devenus les meilleurs amis. Malheureusement, quelque part le long des lignes, son pool génétique l'avait laissé tomber et il avait fini par partager plus qu'une ressemblance passagère avec l'oncle Fester de la famille Adams, en partie à cause de sa taille volumineuse et d'une maladie connue sous le nom d'alopécie universelle, qui avait apparemment eu le rendit complètement chauve, sans sourcils ni cils. Il semblait prendre un plaisir étrange à enfiler fréquemment un long manteau marron et à adopter une expression faciale effrayante, faisant regarder les gens alors qu'il faisait de son mieux pour les convaincre qu'il était en effet le véritable oncle Fester. Malheureusement, ces caractéristiques malheureuses signifiaient qu'il n'avait jamais vraiment réussi à conserver une «vraie» petite amie. Bien sûr, il avait beaucoup d'amies, mais la plupart ne semblaient pas disposées à regarder au-delà de son apparence extérieure et à faire un pas supplémentaire pour devenir sa petite amie. Cependant, le connaissant si bien et la vraie personne, il est devenu un ami proche de moi et de Marie.

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