Tous les cancers pédiatriques n’ont pas bénéficié des progrès réalisés au cours des dernières décennies en matière de traitements. C’est par exemple le cas du gliome infiltrant du tronc cérébral qui reste incurable - 90 % des jeunes malades sont emportés 2 ans après le diagnostic - ou encore de l’hépatoblastome de haut risque, une tumeur du foie rare dont le taux de guérison n’est que d’environ 50 %. Découvrir de nouvelles approches thérapeutiques efficaces mais respectant également la santé des jeunes enfants et leur qualité de vie après la maladie constitue donc une priorité.