chercher personne qui a fait une reconstruction mammaire des 2 seins par diep ou autre après cancer du sein?

5 commentaires
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liline

bonjour ,j'ai 32 ans avec un cancer des deux seins avec 3 cancer différents!! pourquoi faire simple! fevrier 2013 ganglions sentinel ,mars a juillet 2013 chimio 8 cures (très bien tolérées a par les 2 premières) aout 2013 ablation totale des 2 seins et octobre-novembre 2013 radiothérapie (très bien tolérés pas de brulures). très bien encadrée par mon centre hospitalier une très bonne équipe chirurgicale et infirmière !!
je recherche des personne s qui on fait une reconstruction mammaire des deux coté et par quel système: prothèse,ou diep (muscle du ventre) ou le grand dorsal? j'ai vu mon chirurgien mas je suis indécise pour mon choix!! merci de me répondre. liline

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elisasdc

Bonjour,
pour ma part j'ai eu une reconstruction mammaire par lambeau du grand dorsal, sur un seul sein. Tout ce que je peux vpus dire est que 3 ans après le sein est toujours beau, je ne suis pas du tout gênée.
cela a fait très mal pendant 1 mois après l'opération (on se sent dans un carcan de fer qui empêche un peu de respirer) mais je ne regrette pas du tout cette intervention.
d'après ce que j'ai compris lors de mes discussions avec la chirurgienne, il vaut mieux prendre l'option qui dure longtemps quand on est jeune. Posez la question de la longévité des 3 façons de faire à votre chirurgien??
Bon courage
Babeth

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liline

elisasdc
merci de m'avoir répondu!! mes choix s'arrete sur le grand dorsal et le diep . se qui me retiens avec le grand dorsal c'est qu'il ne font pas les 2 seins en mm temps! et le diep sur 10 à 12 heures d'intervention mais il font les 2 en mm temps!!mon chir ma dit que le plus naturel reste grand dorsal.pour l'opération vous etes restée hospitalisée longtemps?? au plaisir et merci
liline

luc R

voici un lien qui peu vous aider dans la prise de décision

http://www.la-maison-du-cancer.com/magazine/la-salle-de-bains/s-quelles…

courage a vous : AMITIÉ

voici un tres grand centre

* Prise en charge par spécialité
o Cancer du sein
+ Prise en charge

Remonter d’un niveau
La chirurgie de reconstruction mammaire
à Gustave Roussy
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Vous êtes actuellement en cours de traitement pour un cancer du sein à Gustave Roussy.
Votre traitement comporte, selon les cas, l’association d’un traitement chirurgical absolument indispensable, éventuellement associé à de la radiothérapie et à un traitement général qui comporte de la chimiothérapie ou de l’hormonothérapie.

Les caractéristiques de votre cancer rendent indispensable une chirurgie radicale enlevant tout le sein car toute autre technique comporte un risque trop important de rechute. Lorsqu’un sein doit être enlevé totalement en raison d’un cancer, cette intervention s’appelle une mastectomie ou une mammectomie.

Ce feuillet est destiné à vous informer des possibilités éventuelles de reconstruction, des indications et des techniques de chirurgie plastique reconstructrice après cette mastectomie.

Il faut savoir que la reconstruction n’a aucun caractère obligatoire, c’est votre choix personnel. Beaucoup de femmes y ont recours afin de supprimer la mutilation que constitue l’ablation d’un sein.
Au cours de la consultation, nous vous expliquerons les différentes possibilités de reconstruction mais vous êtes totalement libres de faire pratiquer ou non cette chirurgie, et ceci tout au long du programme de reconstruction que nous allons vous décrire.
Cette reconstruction peut se faire dans le même temps que l’ablation du sein, on parle alors de reconstruction immédiate ou dans un deuxième temps, on parle alors de reconstruction secondaire.
A Gustave Roussy, la reconstruction est pratiquée depuis 1976. Nous avons donc pu en mesurer les avantages et les inconvénients en fonction des techniques et des indications.

Actuellement à Gustave Roussy, la demande pour des reconstructions immédiates ou secondaires est très importante et des choix ont du être faits : nous privilégions les reconstructions immédiates pour lesquelles nous avons une expertise toute particulière. Par contre, il existe des délaiProxy-Connection: keep-alive
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importants pour pouvoir bénéficier d’une reconstruction secondaire au sein de l’Institut. Nous allons vous en expliquer les raisons :

1. De plus en plus de cancers du sein peuvent bénéficier d’une reconstruction immédiate après l’ablation, ceci évite une mutilation.
2. Les techniques de reconstruction secondaire, qui ne font pas appel à des techniques de chirurgie cancérologique, peuvent s’effectuer en dehors d’un Centre de Lutte Contre Le Cancer (CLCC) par des chirurgiens plasticiens spécialisés.
3. Il est préférable que la mastectomie avec reconstruction immédiate se fasse en CLCC car elle demande une double compétence en cancérologie et en chirurgie plastique. L’analyse histologique de la tumeur est aussi une phase importante qui déterminera les traitements ultérieurs, il est souhaitable qu’elle soit faite à Gustave Roussy.

Lors de la consultation, si vous devez bénéficier d’une reconstruction secondaire, il vous sera proposé une liste de chirurgiens plasticiens qui travaillent en ville, en clinique dans le secteur privé ou des chirurgiens travaillant dans le secteur public. Ces chirurgiens plasticiens spécialisés appartiennent au réseau de soins de Gustave Roussy. Ils se sont engagés, dans une Charte Des Bonnes Pratiques en Reconstruction du Sein après Cancer, à respecter des règles, notamment concernant les tarifs de prise en charge.
C’est l’équipe médico-chirurgicale qui, après étude de votre dossier, décide si vous pouvez bénéficier ou non d’une reconstruction immédiate. Dans un deuxième temps, c’est le chirurgien plasticien qui vous informe des modalités possibles et en fonction de votre cas, vous indique si cette reconstruction est techniquement possible.

Déroulement d’une reconstruction mammaire
Les consultations pré-opératoires
Comment choisir la technique de reconstruction ?

* Les techniques
* La prothèse
* L’expandeur
* Lambeau musculo- cutané de grand dorsal avec ou sans prothèse
* Lambeau musculo- cutané de grand droit abdominal
* Le D.I.E.P : lambeau abdominal sans prélèvement de muscle

Précautions péri-opératoires
Complications
Mauvais résultats esthétiques
Suites post-opératoires
Plastie de l’autre sein
Reconstruction de l’aréole et du mamelon
Interventions de raffinements et traitement des complications
Déroulement d’une reconstruction mammaire
Il faut dans la majorité des cas prévoir trois interventions, chacune à 3 ou 6 mois d’intervalle.

1. la reconstruction du sein enlevé
2. la plastie de l’autre sein si nécessaire
3. la reconstruction du bout du sein (l’aréole et le mamelon).

Les deux premières interventions se font sous anesthésie générale, nécessitant quelques jours d’hospitalisation, la dernière sous anesthésie locale nécessitant une hospitalisation d’une journée voire moins. Dans beaucoup de cas, il faut envisager par la suite des interventions de « raffinement » : faire des retouches de cicatrice, redonner du volume à certains endroits en injectant de la graisse (lipomodelage).
La reconstruction mammaire est le plus souvent possible mais peut comporter des risques variables de complications ou d’échec dont vous devez être informée (voir plus loin.)
Les consultations pré-opératoires
Le choix de la technique de reconstruction est décidé par le chirurgien en accord avec vous après discussion sur les avantages et les inconvénients des différentes techniques.
Le chirurgien vous interrogera sur votre profession, qui est importante pour le choix de la technique. En effet, certains métiers où le travail est très physique contre-indiquent certaines techniques. De même, la pratique de sports est à prendre en considération.

Les facteurs de risque de complications sont les suivants :

* Tabagisme : l’arrêt du tabac est impératif, certaines techniques sont formellement contre-indiquées chez des patientes fumeuses en raison du risque plus élevé de nécrose des lambeaux ou de problème de cicatrisation.
* Le surpoids voire l’obésité augmentent le taux de mauvaise cicatrisation, ainsi que le taux de complications de type phlébite ou embolie pulmonaire.
* La prise de certains médicaments comme les corticoïdes ou les médicaments immunosuppresseurs peuvent augmenter les problèmes de cicatrisation ou le taux d’infections. Il faut en tenir compte.
* Certaines maladies telles que le diabète augmentent le risque d’infection post-opératoire.
* Les antécédents d’irradiation thoracique, de chirurgie thoracique ou abdominale, de certaines maladies cardiaques ou vasculaires, et autres maladies (notamment une fragilité psychologique) seront pris en considération dans le choix de la reconstruction.

Le chirurgien est là pour vous informer sur ces risques et vous aider dans votre choix.
Comment choisir la technique de reconstruction ?
La qualité de la peau et du muscle du thorax est fondamentale dans le choix, ainsi que la morphologie, notamment la taille des seins.
Votre profession et la pratique de sports sont pris en considération.
Enfin, en cas de facteurs de risque, il faut privilégier la technique la plus simple. L’arrêt du tabac un mois avant la chirurgie peut permettre de diminuer le risque de complications post-opératoires mais il est préférable que le tabagisme soit interrompu bien plus longtemps à l’avance.
Le choix de la technique résulte donc de la discussion entre bénéfice et risque opératoire.
Il existe différentes techniques : soit la mise en place d’un corps étranger qu’on appelle prothèse, soit la reconstruction du sein avec ce qu’on appelle un lambeau : il s’agit du transfert d’une structure tissulaire de peau ou de muscle - ou des deux - au niveau du sein à refaire. Ce lambeau peut être pris dans le dos ou sur le ventre.
Les techniques
Le choix se fera en fonction de :

* la morphologie : taille des seins et poids,
* de l’éventualité de traitements complémentaires (radiothérapie, chimiothérapie),
* la possibilité ou le désir de retoucher à l’autre sein,
* les facteurs de risque de complications post-opératoires.

La prothèse
Cette technique s’utilise pour reconstruire un sein petit ou moyen. Il oblige dans la majorité des cas à retoucher à l’autre sein, le plus souvent lors d’une deuxième intervention. La prothèse est placée derrière le muscle pectoral et redonne un volume au prix d’un sein bombé dans sa partie supérieure, et d’un sein qui ne retombe pas naturellement.
L’intervention est assez rapide mais il existe une instabilité dans le temps qui fait que, dans les années suivant cette chirurgie, on peut y revenir pour changer l’implant qui devient trop petit si on prend du poids et inversement. Il peut aussi se développer une coque qui est une réaction à corps étranger rendant le sein dur et douloureux ; il faut alors changer la prothèse. Cette coque est très fréquente quand la paroi thoracique a reçu de la radiothérapie.
Actuellement, il existe des prothèses remplies avec du sérum physiologique (eau), elles se dégonflent souvent secondairement et sont quasi abandonnées. Les prothèses remplies de gel de silicone sont à nouveau sur le marché depuis 2001, elles ont été interdites en France entre 1995 et 2001 car il y a eu des fuites de silicone entraînant des problèmes rhumatologiques ou dermatologiques. Actuellement, avec un recul de 5 ans d’utilisation, le gel de silicone est cohésif et ne fuit plus. La durée de vie de ces implants varie de 10 à 20 ans.
Il faut surveiller un sein reconstruit par une prothèse en silicone par au moins un examen clinique annuel et une mammographie particulière que l’on appelle « numérisée » tous les 2 ans.
L’expandeur
Cette technique est utilisée pour des seins assez volumineux mais où il existe des contre-indications à d’autres techniques de lambeau.
Il s’agit d’une prothèse dégonflée qu’on met en place lors d’une première intervention puis qu’on gonfle progressivement en consultation 1 fois par semaine par une petite valve incorporée. Au bout de 2 à 3 mois, on obtient le gain de peau souhaité pour un bon volume de sein. Lors d’une deuxième intervention, on enlève l’expandeur, on met en place la prothèse définitive en silicone, et dans le même temps, on fait la plastie de l’autre sein.
Lambeau musculo-cutané de grand dorsal avec ou sans prothèse
Il s’agit d’un prélèvement de peau et de muscle dans le dos pour reconstruire le sein. En fonction de la taille de l’autre sein, on peut mettre ou non une prothèse derrière ce muscle.
L’avantage est que la forme est naturelle et que l’on n’est pas toujours obligé de retoucher à l’autre sein. L’inconvénient est une cicatrice dans le dos.
Il est rare qu’il existe des séquelles douloureuses dans le dos sauf chez les femmes qui ont des antécédents de douleurs dorsales. Les séquelles sur la mobilité de l’épaule sont très rares.
Cette technique est formellement contre-indiquée si la patiente fume.
Lambeau musculo-cutané de grand droit abdominal
C’est une technique utilisée plus rarement actuellement car elle présente beaucoup d’inconvénients : c’est une chirurgie longue, qui laisse des séquelles abdominales car on prélève un muscle de la ceinture abdominale.
L’avantage est de permettre de refaire un sein naturel de gros volume, et de faire dans le même temps une plastie abdominale pour diminuer la taille du ventre.
On prélève de la peau, de la graisse et du muscle sur le ventre pour refaire le sein. La cicatrice abdominale est entre le nombril et le pubis sur toute la longueur du ventre. Comme on prélève du muscle, on affaiblit la paroi abdominale et on met en place une plaque pour la solidifier. Des hernies abdominales peuvent apparaître dans les années qui suivent, dans 2 à 3 % des cas.
Cette technique est contre-indiquée chez les patientes fumeuses, ou qui ont des antécédents de phlébite ou d’embolie pulmonaire, ou des cicatrices abdominales.
Le D.I.E.P : lambeau abdominal sans prélèvement de muscle
Il s’agit d’une technique raffinée où on utilise la peau et la graisse du ventre mais sans le muscle, ceci permettant d’éviter les séquelles abdominales. C’est de la microchirurgie : on prend sur le ventre un lambeau de peau et de graisse avec artère et veine et on va rebrancher ces vaisseaux sur d’autres du sein ou de l’aisselle pour refaire le sein. C’est une chirurgie longue (entre 6 et 8 heures) et il peut y avoir des échecs (10 % des cas).
La cicatrice abdominale est la même que pour la technique du grand droit.
Le sein reconstruit est naturel et souple.
La contre-indication formelle est le tabagisme.
Précautions péri-opératoires
Dès que la chirurgie de reconstruction dépasse trois heures, il vous faudra porter dès l’intervention des bas de contention, qui diminuent le risque de complications telles que phlébite ou embolie pulmonaire.
Pendant votre hospitalisation vous aurez des piqûres d’anticoagulants pour fluidifier le sang.
Complications
Comme dans toute chirurgie, il peut se produire des complications post-opératoires qui peuvent nécessiter des traitements particuliers.

* Infection post-opératoire : 2 à 3 % des cas, elle se manifeste par un sein rouge, une cicatrice sale, qui coule, voire de la fièvre. Elle peut nécessiter de réopérer en urgence et d’enlever la prothèse.
* Hématome : 2 à 3% des cas, c’est une accumulation de sang dans le site opératoire, faisant gonfler le sein qui devient douloureux. Il nécessite de réopérer en urgence.
* Problèmes de cicatrisation : 6 à 10% des cas, nécessitant soit de réopérer, soit d’appliquer des pansements plus longtemps que prévu (plusieurs mois).L’évolution des cicatrices dans le temps est imprévisible, pouvant nécessiter des soins spécifiques.
* Nécrose du lambeau : 6 à 10% des cas dans le DIEP et le grand droit, très rare avec le grand dorsal. Il s’agit de la mort du lambeau par mauvaise circulation du sang, qui nécessite d’enlever le sein reconstruit.
* Phlébites et embolies pulmonaires : très rares
* Epanchement de lymphe dans le dos sur grand dorsal : 70% des cas, cela nécessite des ponctions répétées, en consultation.
* Douleurs chroniques : 30% des cas, soit sur le sein reconstruit soit sur le site de prélèvement du lambeau. Elles se produisent si il existe en post-opératoire immédiat des douleurs aigues importantes ou si la reconstruction est mal acceptée psychologiquement.

Mauvais résultats esthétiques
Ils sont très souvent corrigibles par une nouvelle chirurgie. On peut être amené à changer de techniques en cas d’échec de la première.
Suites post-opératoires
Votre hospitalisation sera courte : entre 5 et 10 jours en dehors de complications.
La douleur est prise en charge au besoin par des médicaments à base de morphine.
Dans la majorité des cas, une rééducation n’est pas nécessaire. Lorsque vous quittez l’hôpital, vous pouvez vivre normalement, conduire, etc. Par contre, vous ne devez pas faire de sport ou d’effort violent pendant trois mois.
Vous devez porter un soutien gorge de sport sans baleine jour et nuit pendant un mois.
En cas de technique où le ventre a fait l’objet d’une intervention, il faut porter une gaine abdominale pendant deux mois, jour et nuit.
L’arrêt de travail est variable en fonction de votre activité.
Plastie de l’autre sein
La plastie de l’autre sein a pour but de symétriser le sein restant sur le volume et la taille du sein reconstruit. Elle n’est pas toujours nécessaire.
Le résultat définitif d’une reconstruction s’évalue à partir du troisième/quatrième mois post-opératoire ; c’est pour cette raison que la plastie de l’autre sein n’est le plus souvent pas faite au cours de la première intervention.
C’est en accord avec votre chirurgien que vous déciderez cette chirurgie.
Il existe différentes techniques qui sont choisies en fonction de la taille et de la forme du sein.
Les cicatrices peuvent être soit :

* autour de l’aréole et en ancre marine
* autour de l’aréole et verticale
* autour de l’aréole seulement.

On peut parfois mettre une prothèse pour augmenter le volume du sein si c’est possible et si vous le désirez.
L’hospitalisation est en moyenne de deux jours.
Reconstruction de l’aréole et du mamelon
Elle se fait lors d’une troisième intervention sous anesthésie locale, environ trois mois après la plastie de symétrisation (si celle-ci est nécessaire).
Plusieurs techniques existent :

* tatouage de l’aréole avec plastie locale pour le mamelon
* greffe de peau prise dans l’aine pour l’aréole et plastie locale
* greffe de la partie inférieure du mamelon controlatéral

C’est le chirurgien qui choisit la technique en accord avec vous.
Cette chirurgie peut nécessiter au maximum une journée d’hospitalisation.
Interventions de raffinement et traitement des complications
En général, il faut souvent faire des petites retouches après le programme de reconstruction pour obtenir le meilleur résultat esthétique. Ces retouches peuvent nécessiter soit une anesthésie générale soit une anesthésie locale :

* On peut ajouter du volume à différents endroits du sein reconstruit en injectant de la graisse prise ailleurs (ventre, jambes, hanches) : c’est le lipomodelage.
* On peut reprendre des cicatrices disgracieuses.
* On peut changer une prothèse qui a un volume insuffisant, qui est trop volumineuse, ou qui présente une coque.

En conclusion, la chirurgie de reconstruction mammaire immédiate ou secondaire nécessite plusieurs temps opératoires.
L’équipe médico-chirurgicale décide si vous pouvez avoir une reconstruction mammaire immédiate en fonction des caractéristiques de votre maladie.
La technique de reconstruction est choisie par le chirurgien en accord avec vous, en fonction de votre morphologie, de la taille et de la forme des seins. Les facteurs de risque tel que le tabac peuvent empêcher certains types de reconstruction.
Le plus important est de bien évaluer le rapport bénéfice/risque de la chirurgie de reconstruction.
Enfin, il vous faut savoir que si vous bénéficiez d’une reconstruction mammaire immédiate, le sein reconstruit sera différent du sein avant la chirurgie. Cet aspect est parfois difficile à accepter. Il ne faut pas hésiter à demander de l’aide auprès de l’équipe de psychologues et de psychiatres de Gustave Roussy. En consultation avec le chirurgien, il faut poser toutes les questions que vous souhaitez. Plusieurs consultations peuvent être nécessaires.

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cathie68

Bonjour,
Je recherche un chirurgien pour une reconstruction par diep et diminution du sein restant.
Je suis complètement perdue et ne sais pas du tout où me diriger. Personne ne peut s'engager à me donner des noms sur le haut rhin des meilleurs chirurgiens au top pour cette chirurgie.
Pouvez vous m'aider s'il vous plaît
cathie68

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Anaïs BERGERON

Bonjour,
Je m'appelle Anaïs BERGERON et je suis actuellement étudiante en master 1 de Psychologie clinique et de la santé à l'université Toulouse 2 Jean Jaurès. Dans le cadre de mon cursus, je mène une recherche portant sur " L'impact de la reconstruction mammaire sur l'identité". Je recherche actuellement des personnes ayant subies la reconstruction mammaire ou seulement la mastectomie, qui seraient d'accord pour me faire part de leur(s) expérience(s). La passation est composée d'un entretien qui dure maximum 1h30. Je respecte le secret professionnel, ainsi, les passations sont anonymes.
Je peux me déplacer sur les régions aux alentours de Toulouse, Amiens, Compiègne et Paris.
Si vous êtes intéressées ou que vous avez des questions, n'hésitez pas à me contacter au : 06.20.22.29.25 et sur mon adresse mail: anais-bergeron@hotmail.fr
Je vous remercie d'avance, et vous souhaite une bonne journée.
Bien cordialement,
Anaïs BERGERON
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