Les déprogrammations chirurgicales s’accélèrent : dans chaque ville hospitalo-universitaire, les filières dédiées aux personnes malades du cancer doivent être sanctuarisées et la coopération public-privé sans faille.
Les retards se sont accumulés, pour les dépistages, les diagnostics et les traitements : dans certains cas, les interventions médicales débuteront avec des mois de retard. 3 500 à 8 000 vies pourraient être perdues dans les cinq ans : les dépistages ne doivent pas être arrêtés malgré le confinement, tous les examens indispensables doivent être accessibles.
S’il faut vivre avec la Covid, il faut continuer de soigner les autres maladies que la Covid.